La Terre des Anciens
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 Fortune, Vifier de caniveau

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Le Conteur
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Date d'inscription : 18/10/2010

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MessageSujet: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeSam 5 Déc - 13:18




Identité

• Nom complet : Fortune
• Fonction/profession : Vifier de caniveau, ami de la Princesse
• Age : autour de 20 ans

• Lieu de naissance : Bourg de Castelcerf
• Lieu de résidence : Bourg de Castelcerf

• Magie (si possédée) : Vif (lié à une corneille)
• Signe particulier (si possédé) : La nature n'a pas jugée bon d'affubler Fortune d'un signe particulier, et c'est tant mieux, car le jeune homme cultive et tire partie d'une certaine discrétion naturelle qui lui permet de passer inaperçue , dans toute sorte d'endroits. Bien sur, une belle cicatrice bien placée sur une pommette et/ou une arcade serait du plus bel effet pour ses perpétuelles manœuvres de séduction! Mais à moins de se la faire soit même, ce qui n'est pas du genre du garçon, il y a toute les chance qu'une telle entaille endommage irrémédiablement la belle gueule de Fortune.

• Taille / poids : 1m75 pour 65 kg
• Couleur des cheveux / yeux : cheveux châtains, yeux verts

• Crédit avatar : Peter Mohrbacher

Possessions et aptitudes

• Possessions : Fortune ne possède jamais quelque chose très longtemps. Le troc est le principal modèle économique dans la rue. Cependant, il conserve depuis un certain temps maintenant un étrange objet qui ne cesse de le fasciner. C'est une planchette d'un bois plus dur que la pierre, ou est-ce une pierre qui rend à la perfection les nervures complexes et le fil d'un bois flotté très ancien? Toujours est il que lorsque seul, il s'abandonne à la contemplation de la planchette, il jurerait voir les fibres onduler, et ressentir au fond de lui une inédite et intense sensation de liberté.

• Animal (si possédé) : Gifle, une corneille avec qui il est lié depuis 2 ans

• Aptitudes : Discrétion, Agilité, dextérité, sens de l'observation, séduction, "débrouillardise", calculer, négocier


Descriptions

Physique

Fortune garde les cheveux ras, et tient par là à se distinguer clairement des guerriers, dont il évite autant que faire ce peut la compagnie. Il porte des vêtements modestes souvent récupérés, dépareillés, déguenillés. Fortune est cependant un jeune homme séduisant, avec ses yeux verts perçants et son éternel sourire insolent. Il use, et abuse de son coté charmeur et de son verbe haut auprès de toute jeune fille du Bourg, ou de passage, un tant soit peu séduisante, et se vante auprès de ses amis d'en avoir déjà bien connu plus d'une!
Habitué aux travaux pénibles, sans cesse en mouvement et relativement frugal dans son alimentation quotidienne, son corps est sec, bien découplé, bien plus résistant et endurant qu'il n'y parait à première vue.

Caractère

Bien qu'illettré, Fortune est très intelligent. Bien sur, il a vite développé une intelligence pratique pour "faire son trou" dans la petite communautés dont il est issus, mais dès l'adolescence, il a commencé à comprendre avec finesse, le fonctionnement des Hommes et de leurs Institutions. Ainsi, de sa place du fond du panier, il fut très vite confronté à l'injustice, et à la domination, à la peur, à la colère, et enfin à l'acceptation. Il est conscient qu'il ne changera pas le monde, et même satisfait que la charge ne lui en revienne pas! Lui doit consacrer son énergie à rester Libre, qui que soit l'exploiteur. Alors, quotidiennement, en prenant bien soin de choisir sa partie, Fortune consent à jouer un moment le jeu de l'exploiteur, tant qu'il en retire un bénéfice... Il faut bien manger!


Relations et opinions

Relations

Fortune connait presque tout le monde au Bourg, et tout le monde le connait dans les Bas Quartiers et sur les Quais: C'est le fils de Martha... Mais si, Martha, la gérante de la maison de plaisir de la rue des Traverses...
Une filiation qui, si elle ouvre des portes, en ferme pas mal d'autres. Celles de la Maison de sa mère, au moins sont pour Fortune, toujours ouvertes, et quoi qu'il lui arrive, il sait pouvoir y trouver la chaleur d'une soupe et celle d'une paillasse au sec, pour quelques heures, quelques jours tout au plus. Car inévitablement, rester auprès de sa mère finit par causer d'autres problèmes, qu'il faut régler...ou fuir à nouveaux.
Ses sens de perception, et d'orientation font de Fortune un coursier idéal, pour livrer un colis en évitant les patrouilles de la milice, de la garde, ou d'autres rencontres encore moins recommandables.
Des quais jusqu'au quartier des artisans, on sait pouvoir compter sur Fortune pour ce genre de travail. Ainsi, chercher du travail consiste pour le jeune homme à attendre qu'on l'interpelle ou qu'on le fasse demander. Dans cette attente, il traine sur de ci de là, entre Bourg et quais, adressant œillades suggestives et commentaires gênants à toutes les femmes qu'il croise, s’arrêtant chez celui ci ou tel autre, pour papoter, boire du vin de fruit, inhaler de la fumée ou mâchouiller quelques graines de karis, en fonction de l'heure, et de l'avancée de la journée!
Depuis quelques temps déjà, il y a cette Princesse Loinvoyant, qui occupe un bonne part de ses pensées. Il aimerait bien ne pas l'aimer, mais là, il naime pas se rendre contre qu'il l'aime beaucoup...compliqué. D'autant que celle là, il y a peu de chance qu'il lui soulève les jupons, vue le genre d'animal sauvage que c'est!
Elle a le vif, et ce qu'ils ont partagé le jour de leur rencontre a été puissant. Finalement, plus que ses jupons, c'est le voile du mystère qu'il a envie de soulever maintenant. Et rien à faire du Maitre de Vif... Pfff, comme si le Vif avait besoin d'un Maître!! Encore un qui a sut se placer du coté des puissants... Exploiteur.

Opinions

• Sur la magie du Vif (doit-on la condamner ?)
Fortune ne reconnait qu'un mérite aux Loinvoyant, c'est d'avoir légalisé le Vif, même si on se fait encore lyncher dans la rue. Il aimerait qu'ils soient plus sévères envers les assassins et appliquent leur loi dans tous les autres Duchés. En même temps, Fortune voit d'un mauvais œil ces Maitres de Vifs qui, il en est intimement persuadés, ne cherchent qu'à poser des limites, leurs limites, à la Liberté du Vif.

• Sur la défense du Royaume (que faire face aux attaques pirates et chalcédiennes ?)
Pragmatique, lorsqu'on lui pose la question, Fortune renvoi ses interlocuteurs aux causes des attaques: A-t-on déjà vu un noble de Castelcerf attaquer et voler la bourse d' un mendiant? Pourquoi le mendiant, lui, s'attaque-t-il à la bourse du noble? Penses tu que la bourses du pirate ou celle du Chalcédien soit plus lourde que celle du Roi Vainqueur?

• Sur la succession du Royaume (Aimée ou Prospère Loinvoyant, qui doit régner ?)
Un Loinvoyant ou un autre? Quelle différence? Il parait que Prospère à le teint plus rosé, mais Aimée, la cuisse plus ferme... Je vais choisir la cuisse!

• Sur le remariage du Roi (d'un point de vue moral et/ou politique)
Là encore, la petite vie des Puissants n'intéresse guère Fortune. Il a bien compris que chez ces gens là, chaque acte, chaque choix, chaque intention cachent d'autres actes, d'autres intentions qui échappent au petit peuple. Le Roi s'assure par le mariage des positions politiques et territoriales? Que les conseillers et les généraux se réjouissent! Il assure des nouvelles routes commerciales? Que les marchands festoient au mariage! Au final, pour Fortune et les siens du Bourg , ça ne change pas grand chose. Et lorsqu'on évoque le sujet, dans les dernières tavernes encore ouvertes lorsque la nuit s'est déjà bien avancé , on souhaite surtout au Roi que la Nouvelle soit encore plus chaude que la précédente!!


Histoire


Fortune est le plus âgé des 4 enfants de Martha, une prostituée de Bourg de Castelcerf. Il a grandi dans différents logements, que sa mère partageait avec d'autres femmes, d'autres prostituées et leurs enfants.
Au cours de ses premières années, Fortune fut un bébé puis un enfant très calme. Tellement calme et placide, qu'à 3 ans, il ne marchait et ne parlait toujours pas. Tous avaient finis par le considérer comme simple, mais pourtant, peu après un nouveau déménagement de la maisonnée, et à la surprise générale,Fortune s'éveilla brusquement. En l'espace d'un mois, à la stupéfaction de toutes, il se mis à marcher, à parler, et devint propre.
Très rapidement, il rattrapa ses différents retards, et à 6 ans, il était même plus vif et futé que la plupart des gamins de son age.
Fortune n'a pas eut l'occasion d'apprendre à lire. En revanche, il a très vite appris à compter, et s'avère même aujourd'hui être particulièrement rapide en calcul mental. Très jeune Fortune a commencé à rendre de petits services pour la maison, puis effectuer de petites commissions pour des clients , en l'échange de quelques pièces.
Plus à l'aise à l'extérieur qu'à l'intérieur et irrémédiablement épris de Liberté, le petit Fortune se fit doucement mais surement sa place dans la rue.
Sa mère finit par s'inquiéter de la puissance de l'attraction que la vie de la rue exerçait sur son fils. Faisant jouer ses "relations professionnelles", elle trouva pour Fortune un apprentissage, en menuiserie, auprès de Maître Frêne, un artisan reconnut du Bourg. Mais pour Fortune, qui évoluait déjà depuis quelques temps dans le petit monde de la rue, la confrontation à la discipline et à l'autorité fut difficile, et l'apprentissage prestement abandonné.
Depuis, Fortune vit de petits larcins, ou de travaux ingrats.


Entre nous

• Comment avez-vous découvert le forum ? Pourquoi l’avoir choisi ?
Je cherchais sur internet du contenu pour faire du jeu de rôle (sur table) dans l'univers des Six Duchés, lorsque je suis tombé sur La Terre des Anciens.
Ma recherche initiale si elle avait aboutie, m'aurait peut être permis de faire le MJ (après apprentissage de règles, recrutement de joueurs, aléas en tout genres...)
Votre forum me permet d’être moi-même directement joueur!!

• Êtes-vous très actif ? Moyennement actif ? Très occupé IRL ?
...Serais-je très actif ou moyennement? C'est vous qui me le direz! Ce que je peux dire, pour l'heure, c'est que je suis très motivé, curieux, et que, dans ma vie réelle (?!) je me suis aménagé du temps pour rêver, lire, écrire.

• Si vous veniez à disparaître définitivement, que devons-nous faire de votre personnage ? (le considérer comme mort, le mettre en prédéfini, etc.)
Je vous accorde toute la légitimité et la compétence pour faire au mieux, dans l’intérêt de l'histoire, et des joueurs sourire



Dernière édition par Le Conteur le Lun 14 Déc - 19:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeVen 11 Déc - 18:35



Carnet de route


Au fil du jeu, vous pouvez utiliser cet espace pour résumer les aventures ou lister les rps de votre personnage. Pour mieux vous y retrouver dans votre chronologie personnelle, et permettre aux autres joueurs de suivre vos aventures.


Titre

ÉCRIRE ICI

Titre

ÉCRIRE ICI

Liens passés et à venir


Votre personnage n'est pas seul au monde, loin de là : un frère, une mère, des tortionnaires ou des compères de galère... Ici, vous pouvez récapituler les liens tissés au fil du jeu par votre personnage. Vous pouvez aussi y indiquer les liens que vous souhaiteriez voir se développer.


Titre

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Titre

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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeVen 11 Déc - 18:52

Bienvenue à Fortune !

Voici mes retours concernant ta fiche de présentation de personnage.

Fortune a écrit:
• Age : autour de 20 ans
Fortune ignore-t-il son âge exact ?

Fortune a écrit:
• Signe particulier (si possédé) : ...
Champ "signe particulier" non renseigné : Fortune en a-t-il un ?

Fortune a écrit:
... inhaler de la fumée ou mâchouiller quelques graines de karis, en fonction de l'heure, et de l'avancée de la journée!
J'avoue que je ne me souviens plus si ces drogues sont d'importation étrangère et s'il est plausible qu'elles existent déjà dans nos Duchés en l'an 32... qu'en pensez-vous ?

Fortune a écrit:
Un Loinvoyant ou un autre? Quelle différence? Il parait que Prospère à le teint plus rosé, mais Aimée, la cuisse plus ferme... Je vais choisir la cuisse!
lol_panneau

Concernant ton histoire, je souhaiterais que tu évoques les deux aspects suivants, qui me paraissent importants :
- la rencontre avec son Vif et notamment Gifle
- la rencontre avec Aimée, sans forcément tout dévoiler si vous préférez construire cela en jeu dans la rubrique flashback. N'hésite pas à échanger avec la joueuse d'Aimée Loinvoyant à ce sujet !

Concertant ton avatar, je t'invite à copier coller ce lien dans ton "profil" (le profil est accessible dans le menu juste sous la bannière du forum), dans l'onglet "avatar" :
https://i.servimg.com/u/f36/14/19/08/09/les_il10.jpg
Tu peux en profiter pour générer ta "feuille de personnage" à partir de ce même profil.

Je te laisse poster tes modifications et compléments en réponse à ce sujet !
A bientôt sourire
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Aimée Loinvoyant

Aimée Loinvoyant

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Age : 42

Feuille de personnage
Fonction: Reine-servante des Cinq-Duchés
Âge: 20 ans
DC: †Shyrin Loinvoyant, Chiara Lunabille

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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeSam 12 Déc - 8:11

Oulalaaa ! Re-bienvenue mon ami ! cheers saute
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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeDim 13 Déc - 23:27


Des compléments:

Concernant l'age, Fortune ignore effectivement la date exacte de sa naissance. Pour sa mère, l'arrivée accidentelle de cet enfant a été une galère de plus dans une existence qui était alors plus que précaire et chaotique. Débarquée et abandonnée sur les quais du Bourg, par un matelot qu'elle avait suivit sur la promesse d'un avenir aimant et radieux, la trop jeune gamine de la campagne dut s'en sortir avec les seuls atouts qu'elle possédait alors: sa charmante frimousse, sa généreuse poitrine, et un sens aigüe de la survie. Longtemps elle s'opposa par tous les moyens, et bien souvent la fuite, au réseau du bourg, qui lui promettait la sécurité contre une violence dont ils étaient eux même les auteurs. Une vie de soumission qu'elle refusa toute sa vie. Martha venait de s'installer, ou pus précisément se cacher dans un nouveau logement, avec Plume, sa toute première "associée" quand elle fut convaincue que la grosseur qu'elle portait au ventre n'allait pas passer d'elle même.
Chardon, la Femme-Aiguilles fut accablée lorsque Plume lui amena Martha. Jamais elle n'avait vue grossesse aussi longtemps déniées de toute sa longue et sordide carrière. Pour autant, et si son Art était de faire ...passer ceux en devenir, elle se refusa à tuer un enfant fini.
Dans la nuit Martha accoucha. Le seul cri qu'elle poussa fut celui du moment de l'expulsion. Un cri aigu, profond, comme échappé d'un puit de souffrance, soupape d'une pression colossale jusque là contenue.
C'est ce cri qui réveilla Plume.
Il n'y eut pas d'expression de joie quand elle vint la rejoindre sur sa couche.
Les deux femmes échangèrent un regard lourd et entendu. Martha tréssailla. Elle avait commis une faute grave qui les mettait en danger, elle eut du mal à affronter le regard de Plume. Pas une n'eut la moindre attention pour la petite chose couverte de sang et de muqueuses que Martha tenait serrée contre son sein pour l’empêcher de faire du bruit. Leurs yeux se tournèrent de concert vers la porte du logement, priant Eda que personne n'ait entendu le cri...
...mais je m'égare! En tout cas, tout cela c'était il y a une vingtaine d'année, à une époque ou les dates n'avaient pas d'importance pour Martha.

Signe particulier: La nature n'a pas jugée bon d'affubler Fortune d'un signe particulier, et c'est tant mieux, car le jeune homme cultive et tire partie d'une certaine discrétion naturelle qui lui permet de passer inaperçue , dans toute sorte d'endroits. Bien sur, une belle cicatrice bien placée sur une pommette et/ou une arcade serait du plus bel effet pour ses perpétuelles manœuvres de séduction! Mais à moins de se la faire soit même, ce qui n'est pas du genre du garçon, il y a toute les chance qu'une telle entaille endommage irrémédiablement la belle gueule de Fortune.

Concernant les passes-temps "psychothropiques" de Fortune (!)
Si mes souvenirs sont exact, c'est effectivement bien plus tard que l'Herbe à inhaler est popularisée, à la cour par le Prince Royal (ou même sa mère?) tout deux amateurs de la pratique. A cette époque, l'inhalation est à la mode. Cette popularité soudaine est-elle liée à la découverte, grâce à de nouvelles voies commerciales, d'un produit et d'une pratique nouvelle, qu'on s'empresse d'essayer à la cour, ou alors est c'est l'usage d'un produit ancien et connu qui devient en vogue à la cour sous l'influence de Royal ? Je ne sais pas. Dans tous les cas, et au delà des phénomènes de mode, faites confiance aux marins pour tester tout ce qui peut vous envoyer discuter directement avec El! Alors si on inhale de l'herbe quelque-part ou les bateaux de Cerf font escale, on trouvera le marin qui a gouté, et peut être même ramené un échantillon.

Concernant la graine de Karis, la chose me semble plus évidente: Le petit psychotrope stimulant fait forcément partie de la culture locale, tant il est intégré, et son usage ritualisé jusque dans le saupoudrage qu'on fait des graines sur les petits gâteaux sucrés de la fête des moissons!! Nombreuses sont les histoires de maquignons véreux qui transforment grâce au karis une pauvre carne mourante en étalon fougueux...pour le temps de la vente, ou des esclaves qu'on tuait littéralement en les gavant de karis pour les faire travailler jours et nuits sans manger ni boire jusqu'à ce que leur cœur lâche.
A mon humble avis, les graines de karis sont produites localement, ou alors leur commerce est commun, et elles ne coute pas grand chose. Je ne serais pas surpris de découvrir que nombre d'aubergistes disposent sous le comptoir d'une réserve de graines...pour les bons clients, et que la plus part des dockers mâchouillent leur poignée de graines chaque matin avant de porter les caisses.

La rencontre avec le vif.

En fait il y eut réellement trois rencontres
La première, advint beaucoup trop tôt. Fortune n'était alors qu'un nourrisson, incapable de se mouvoir et trop souvent délaissé par une mère trop occupée, il restait des heures dans son couffin près de la fenêtre dans la chambre sous les toits. Le piaillement ininterrompue d'une nichée de perdreaux installée sous la toiture à l'angle de la fenêtre fut son premier contact avec la vie, et l'extérieur. Le bambin tendait le cou pour essayer de les apercevoir virevolter autour du nid, il aurait tendu les mains s'il n'avait été emmailloté. Au lieu de cela, il tendit l'oreille, puis sans que cela ne procède de la moindre volonté consciente, il finit par tendre son esprit... et il les rencontra. Bébé Fortune ne se lia pas accidentellement avec un perdreau, c'est avec toute la nichée qu'il partagea son esprit.
Il aurait put, il aurait dut, insisteraient probablement les Maitres de Vifs, se perdre à ce moment. Pourtant, et durant les brèves années que durèrent ce lien incroyable, Fortune vécu milles aventures dans le ciel et sur les toits, ressenti toutes les sensations et les émotions et grava à jamais au plus profond de son être, le sens de la Liberté du Ciel.
Mais dans la réalité des hommes, effectivement l'enfant se perdait. A la maison il semblait observer son environnement, lorsqu'une activité l'animait, puis il se réfugiait immédiatement dans ses rêveries, une fois seul, ou le calme revenu. Seul les piaillements des perdreaux sous l'avancée de toiture parvenaient à mobiliser son attention. L'enfant n'évoluait pas, il ne marchait pas, ne parlait pas.
Ce fut un drame, finalement qui le libéra: quelques jours après un nouveau déménagement, l'immeuble des quais que la maisonnée venait de quitter s’effondra, précipitant toiture et dernier étage plusieurs mètres en contrebat sur la chaussée.
Pour Fortune, le monde se réduisit brutalement à la toute petite sphère de ses maigres perceptions.
Il resta longtemps, très longtemps immobile, enfermé dans l'obscurité de son esprit. Pour sa mère, la seule chose qui lui parut changer fut la disparition du sourire radieux qui avait toujours illuminé la bouille de son petit. Il mangeait toujours, un peu, quand on lui présentait les aliments, et il restait désespérément calme et immobile.
Il fallut près d'une année , pour que le petit garçon finisse par sortir de son mutisme. C'est le temps dont il eut besoin pour comprendre que les images qu'il avait encore dans sa mémoires, souvenirs d'absolue liberté, avaient une réalité.
Une fois cette certitude acquise, il décida de retrouver ces images, de refaire de cette partie de sa mémoire, sa réalité.
Il lui fallut d'abord accepter, et c'est sans doute ce qui fut le plus difficile.
Accepter de ne se déplacer que sur le sol. Accepter la pauvreté et la rugosité des sons que pouvait produire sa gorge. Accepter des contraintes incroyables, des limites cruelles qui emputeraient l'existence de ce qui, croyait-il en était son essence même: la liberté du ciel.
Mais lorsqu'enfin, tout fut accepté, il s'éveilla. En l'espace d'un mois, à la stupéfaction de toutes, il se mis à marcher, à parler, et devint propre.
Très rapidement, il rattrapa ses différents retards, et à 6 ans, il était même plus vif et futé que la plupart des gamins de son age.
A la recherche des sensations de "liberté du ciel"qui hantaient sa mémoire, Fortune s'intéressa aux oiseaux.
C'est alors qu'il fit sa deuxième rencontre avec le Vif: A force de les observer, et de chercher à les approcher, il découvrit qu'en centrant ses pensées, il parvenait à les sentir. Avec le temps, il appris à les ressentir, saisir le sens des vives pensées et préoccupations qui agitaient sans cesse l’esprit des plus petits.
Lorsqu'il compris que tout le monde n'était pas capable de sentir les mêmes choses, alors il accepta de s'ouvrir tout entier et ils appris à partager.
Ses yeux se ré-ouvrirent, sa vision et ses perceptions de la Vie s'éclaircirent.
Il ne retrouva pas le puissant lien et l'intense sentiment de liberté qui avaient à jamais laissé traces dans se mémoire la plus archaïque. A la place, il appris à tisser une foultitude de petits liens avec toute sorte de volatiles, mais surtout, il appris à tirer partie de la considérable extension de son champ de perception, et de l'omniprésence de ses "alliés secrets".
Il lui fallut attendre de longues années encore pour qu'enfin sa Vision redevint parfaitement lumineuse, et que sa peau ressente à nouveau la vitalité de l'air marin qui tournoie en rafales, loin au dessus des toits des plus hautes tours de Castelcerf.
Il lui fallut attendre de rencontrer Gifle, la corneille.
C'était il y a presque deux ans.
Ce jour là, Fortune avait un rendez-vous sur les quais, pour une livraison spéciale.
Quelques jours plus tôt l'affaire avait été négociée, avec un homme à la large stature et à la tenue soignée, apparemment de passage au Bourg, qui avait même payé une avance. Il suffisait de récupérer un paquet au sortir des cales de l'Effronté, pour le porter à une adresse située à quelques minutes de course sur les hauteurs près des falaises déchiquetées, dans un quartier pratiquement déserté, qui reçoit de plein front les embruns salés des vagues qui percutent la falaise. En lui tendant sa lettre de crédit cachetée, à présenter au capitaine, l'homme avait tenu à insister sur la discrétion, la célérité et la prudence qu'il attendait de la part de son coursier, en évoquant à demi-mots les pénibles conséquences qui adviendrait du moindre retard, ou détérioration du colis. La routine en quelque sorte.
Pourtant, celui ci semblait réellement craindre quelque chose, Fortune s'en était rendu compte, il aurait dut y prêter plus d'attention, mais il ne le fit pas. Depuis quelques espants déjà, les affaires marchaient bien pour lui, et il commençait à s'installer trop confortablement dans la routine de ses petites livraisons, supervisées du ciel par les dizaines d'oiseau avec les quels il renouvelait quotidiennement un lien ténu mais stable.
Ce jour là donc, Fortune est installé en tailleur sur une pile de caisses entreposée sur le quais en attendant l'arrivée de l'Effronté. Il contemple sa singulière planchette de bois-pierre en laissant son Vif s'épanouir largement dans le ciel, à la rencontre de ses alliés du jour. Son regard attaché aux circonvolutions du fil noueux du bois de la planchette, Fortune sourit en commençant à percevoir les pensées simples et vives des oiseaux autours de lui:
...des graines, chercher, des insectes, monter, descendre, danger, air, ascendants... une infinité de pensées qui virevoltent et s'entrecroisent dans une virtuosité dynamique pour tracer et dessiner la trame sensible d'un autre niveau de perception pour Fortune.
Il isole ce qui l'intéresse, concentre son "écoute" sur les rues qu'il devra emprunter dans sa course. Il prend note mentalement des rassemblements suspects sur le trajet, des rondes de la garde...
Lorsque qu'un cri tout autant intérieur qu'extérieur le ramène brutalement en lui. Plusieurs mouettes ont hurlé de concert et la notion de "danger" envahie et inonde en un éclair toute la sphère des pensées volatiles.
En bas, l'Effronté amorce ses manœuvres d’amarrage.
Fortune le regarde s'arrimer, l'esprit troublé.
Au delà de la peur qui s'est transmise à tout ce qui vole, il a ressenti quelque chose de plus personnel.... Un peu comme si on avait profité du fait qu'il soit largement ouvert, pour s'introduire au cœur de ses pensées, une sorte d’effraction mentale? A ce contact, Fortune s'est instantanément refermé, dans un mouvement d'expulsion de l'intrus. Il ne ressent plus la paniques des oiseaux autour de lui, il s'est fermé au Vif, et reste seul avec la peur de cette étrange intrusion, la peur de s'ouvrir à nouveau et s'exposer.
Après avoir laissé au capitaine de l'Effronté le temps de vérifier les cordages et parcourir plusieurs fois les quais du regards, Fortune dégringole de son perchoir et s'avance vers lui d'un pas qu'il cherche à faire paraitre plus assuré qu'il ne l'est vraiment.
Les modalités de ce type de transaction sont normées, et les mots pratiquement inutiles. Fortune tend à l'homme au teint rougeot la lettre cacheté à la cire, qui s'en saisit, brise le cachet et prend connaissance du message en hochant la tête d'un air entendu. Un marin adossé au bastingage et qui n'a rien raté de la scène s'enfonce un instant dans la cale pour réapparaitre avec un petit paquet de cuir, solidement ficelé, et lui aussi cacheté à la cire jaune. Bien plus âgé que Fortune, le marin le toise avec hauteur et mépris, de ses petits yeux noirs perçants qui s'agitent frénétiquement de chaque coté de son nez court et crochu.
De la cale émane un petit rire cruel.
Pressé de quitter au plus vite cette inquiétante compagnie, Fortune salut brièvement de la tête les deux hommes et quitte le pont de l'Effronté pour remonter le quais d'un pas mesuré. Derrière son apparente désinvolture, Fortune est en panique. Il n'ose toujours pas tendre son vif. Réduit à ses seules perception, il se sent aveugle et sourd, s'attendant à chaque instant à se faire sauter dessus. Au bout des quais, il bifurque sur sa gauche et s'enfile dans le dédale des ruelles étroites qui s'élancent à l'escalade des falaises. A peine a-t-il passé le coin de la rue, qu'il se sent soudain libéré du poids des regards des deux marins. Son rythme cardiaque diminue, son humeur s'améliore, et il s'autorise à réévaluer la situation avec un peu plus de recul:
"-Objectivement, jusque là, tout c'est bien passé...Merde! Je me suis laissé envahir par la trouille des piafs!"
A ces pensées Fortune se sent un peu honteux. Lui qui croyait régner en maître sur son petit peuple à plume, se constate effrayé par des pensées de perdreaux! Pathétique... Il lève les yeux pour scruter la fine bande de ciel qui se dévoile bien plus haut entre les toitures des bâtiments de la rue, mais ne voit pas le moindre volatile. Le sentiment d'intrusion qu'il a éprouvé plus tôt lui fait encore peur, et il n'ose pas s'ouvrir et tendre son vif. Il s'élance dans les ruelles, faisant à chaque croisement le choix de la rue qui monte, en serrant coté mer, afin d'éviter le centre du Bourg toujours animé, et dangereux, et tirer au plus court vers le quartiers des Embruns.
Il court à travers les rues sales de quartiers trop éloignés du centre pour qu'on les entretienne vraiment. Débouchant sur une place accrochée en balcon au rocher de la falaise, il profite de la vue dégagée sur le ciel pour le scruter à nouveau. Cette fois, il aperçois plusieurs nuées d'oiseaux qui volent haut. Elles forment une très large ceinture qui maintient la distance autour d'un minuscule point noir qui décrit d'étroits cercles concentriques exactement au dessus de lui!
Par réflexe, Fortune enfouie sa tête entre ses épaules et s'élance ventre à terre sur le pavé mal jointé pour rejoindre presque à quatre patte la sécurité des ruelles étroites. Ce n'est que lorsqu'il atteint l'obscurité profonde d'une longue rue couverte qu'il s'autorise enfin à s’arrêter de courir, pour reprendre son souffle.
"...un rapace Fortune! Juste un gros rapace qui terrorise la volière! "
Fortune plaque son dos au mur et se laisse glisser jusqu’à s'assoir sur ses talons. Des deux mains il se frotte énergétiquement le visage, et prend trois profondes respirations. Le bourdonnement dans ses oreilles perd de son intensité, dans son dos et sur la paume de ses mains, la sécurité de la pierre fraiche et humide qui ne voit jamais la lumière du soleil. Ses yeux s’habituent doucement à l'obscurité et il ressent la masse des étages du bâtiment au dessus de lui.
Tout doucement, il s'ouvre au Vif. Il perçoit d'abord la frénétique agitation familière d'une foultitude de rongeurs qui s'affairent tout proche. Rassuré, il tend son esprit un peu plus loin, et ressent l'attente silencieuse et angoissée d'une dizaine de petits oiseaux, que la peur paralyse et contraint à rester caché dans un espace exiguë.
Alors il déploie largement son Vif, dans l'intention de sentir ce qui se passe dans le ciel, lorsque s'impose à son esprit l' image violente de son propre visage recouvert d'une épaisse couche de fiente.
Comme plus tôt, sur le quais, il a ressenti cette espèce d'intrusion intime. Mais si la première fois, il s'est senti...épié? Cette fois on a juste cherché à lui faire mal. Non pas une sale blessure, juste une pichenette appliquée avec précision pile poil à un endroit qui fait bien mal.
Évidement, Fortune s'est aussi tôt refermé hermétiquement au vif.
Tel un escargot qui renvoie prudemment un œil hors de sa coquille, il tend un mince filet de vif qui bute immédiatement sur un corpus compact de pensées structurées. En un éclair il revoit l'image de son visage couvert de fientes , il voit aussi une nichée de perdreaux hurlants quémandant leur pitance le bec ouvert...mais derrière chaque petit bec jaune, c'est son propre visage qu'il reconnait! L'image d'après, tous les prédateurs et rapaces imaginables fondent sur le nid. Fortune voit la panique l'envahir de nouveau lorsqu'il ressent quasi physiquement, une cinglante gifle. La décharge psychique le pousse à réagir. Il se redresse et sonde l'obscurité autour de lui. Il ressent plus qu'il ne voit un mouvement dans l'ombre en face de lui. Des claquements secs résonnent plusieurs fois sur du bois, puis un discret craquement se fait entendre, et un rayon lumineux apparait, soulignant subtilement l'encadrement d'un étroit fenestrons. Non loin, la faible lumière s'accroche sur l’œil humide et rond d'une grasse corneille qui fait alors vibrer son noir plumage dans un grondement sourd. Fortune reste stupéfait et son regard ne cesse de faire des vas et viens entre le fenestron révélé, et la grosse corneille qui bascule maintenant sa tête d'un coté et de l'autre, comme pour l'observer avec chacun de ses yeux?
Comme il tend son vif vers elle, s'impose aussi tôt à son esprit l'image d'un rongeur dans une cage, dont la porte vient de s'ouvrir. Cette fois l'oiseau quitte son perchoir et s'avance sautillant vers Fortune, en agitant ses ailes de petits coups saccadés. Fortune reste pétrifié par la stupéfaction et la surprise. Figé, il laisse approché le corvidé qui pousse désormais des petits cris stridents pour accompagner son pressant ballet.
D'un coup, l'oiseau s'immobilise.
Fortune les a senti aussi. Des hommes approchent, deux groupes qui arrivent chacun d'un coté de la ruelle. Déjà il voit le halo de lumière de leur torches qui repoussent les ombres devant l'implacable progression.
"-Bein ou il se cache le poulet?" lance une voie railleuse suivie du rire cruel entendu plus tôt sur le pont de l'Effronté.
En deux battement d'ailes, la corneille s'élève devant Fortune, et lui laboure le cuir chevelu en essayant de le saisir et l'attirer vers le fenestrons. Sans plus réfléchir, le jeune homme suis le mouvement et s'élance au travers l'étroite ouverture qu'il parvient à franchir au prix de douloureuses contorsions. La Corneille ouvre la voie et semble le guider le long des sombres couloirs et les volées d'escaliers qui s'enchainent.
Derrière lui, Fortune entend les hurlements rageurs des hommes dans la ruelle. Son cœur bat à tout rompre. Il se sent saisi d'un profond vertige, lorsqu'il se risque à penser aux conséquences de ce qui vient de se passer. Terrorisé, épuisé, il ne veut plus penser et s'en remet totalement à la corneille pour leur trouver un endroit en sécurité.
C'est ce qu'elle fera. Et ils resteront cachés tous les deux presque deux espants, le temps de se faire oublier. Deux espants durant lesquels Fortune apprendra de la corneille, tout ce qu'il sait aujourd'hui sur le Lien et de l'usage du Vif.

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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeLun 14 Déc - 19:53

Rappelle moi de ne plus te demander de développer mrgreen
Je n'ai pu intégrer que le "signe particulier" à ta fiche de présentation, le reste est trop long et trouvera davantage sa place dans les rubriques d'écriture du forum (Solo ou Flashback).

Je ne doute pas que tu sois pleinement familier de ton personnage, c'est pourquoi j'ai le plaisir de valider ton entrée en jeu ! champion
Je t'ajoute au groupe "Peuple". 

Tu peux désormais poster dans toutes les rubriques du forum. Tu peux ouvrir un rp libre, faire une demande de rp pour trouver un partenaire ou participer à l'animation en cours. Tu peux également contacter les autres joueurs via la messagerie (dans le menu) ou nous rejoindre sur le Discord du forum (chat) pour papoter.

A bientôt en jeu !
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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeMar 15 Déc - 23:36

Wahoo! Super, merci !
Maintenant, je ne sais par ou ni comment "rentrer"?!? Je ne trouve plus le sujet sur le mariage du roi ? Ca le semblait etre un bon moyen de rencontrer du monde...

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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitimeMer 16 Déc - 22:21

Les animations autour du mariage royal sont closes. Mais tu peux ouvrir un nouveau sujet à la même période (en cliquant sur "nouveau"), soit en t'entendant avant avec un partenaire de jeu, soit en laissant le rp ouvert aux plumes vagabondes. Tu peux m'envoyer un message si besoin de plus d'infos.
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MessageSujet: Re: Fortune, Vifier de caniveau   Fortune, Vifier de caniveau I_icon_minitime

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